Dès le Lundi
8 au 8 Septembre 2025
François Chaignaud présente Dumy Moyi, un spectacle à découvrir le 8 septembre 2025 au Grand Théâtre de Genève (GTG).
« Je rêve de cette pièce comme d’un antidote. Antidote aux rituels du théâtre occidental, de sa frontalité, de sa périodicité, de son rapport de force. Nous serons donc dans un lieu clos, sans gradins ni scène. Proches les un·es des autres. Peu nombreux·ses. De plain-pied. On pourra choisir son heure, car le spectacle aura lieu plusieurs fois par jour – comme les différentes séances de cinéma ou de théâtre forain.
Et nous profiterons de cette intimité, de cette proximité, de cet écrin pour jouir de la délicatesse et de la démesure – un peu à la manière des rituels de theyyam dans le Malabar, pendant lesquels les superbes costumes monumentaux des danseurs devenus dieux les distinguent et en même temps les rapprochent de celles et ceux venu·es les voir et les solliciter. Rythmé par des airs d’envoûtements ukrainiens, philippins ou séphardiques, j’imagine ce récital polyglotte pris au piège d’un costume-sculpture de Romain Brau comme une distribution sinueuse de danses, de chants et d’images, impurs et raffinés. » (François Chaignaud)
au Foyer du Grand Théâtre
« Je rêve de cette pièce comme d’un antidote. Antidote aux rituels du théâtre occidental, de sa frontalité, de sa périodicité, de son rapport de force. Nous serons donc dans un lieu clos, sans gradins ni scène. Proches les un·es des autres. Peu nombreux·ses. De plain-pied. On pourra choisir son heure, car le spectacle aura lieu plusieurs fois par jour – comme les différentes séances de cinéma ou de théâtre forain.
Et nous profiterons de cette intimité, de cette proximité, de cet écrin pour jouir de la délicatesse et de la démesure – un peu à la manière des rituels de theyyam dans le Malabar, pendant lesquels les superbes costumes monumentaux des danseurs devenus dieux les distinguent et en même temps les rapprochent de celles et ceux venu·es les voir et les solliciter. Rythmé par des airs d’envoûtements ukrainiens, philippins ou séphardiques, j’imagine ce récital polyglotte pris au piège d’un costume-sculpture de Romain Brau comme une distribution sinueuse de danses, de chants et d’images, impurs et raffinés. » (François Chaignaud)
au Foyer du Grand Théâtre
Un spectracle de La Plage du Grand Théâtre, dans le cadre de La Bâtie
François Chaignaud, conception, interprétation
Pour s’y rendre
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