Dès le Mercredi
21 au 24 Janvier 2026
DAINAS (pron. daïnas), un spectacle de Jonathan Capdevielle, à découvrir du 21 au 24 janvier 2026 à la Maison Saint-Gervais, Genève.
Jonathan Capdevielle a mis Dimitri Doré en scène la 1ère fois, alors que ce dernier n’avait que 19 ans. Depuis, ils ne se perdent plus de vue.
Avec DAINAS (pron. daïnas), leur collaboration prend la nouvelle tournure d’une co-écriture, inspirée par l’histoire intime de Dimitri. Né en Lettonie, il est adopté en France à l’âge de 18 mois.
Quelles traces sa culture d’origine et sa famille de sang ont-elles laissé en lui, alors qu’il quitte son pays natal bébé? Cet héritage nébuleux devient le berceau d’un imaginaire syncrétique composé de réminiscences, de folklore et mythes lettons, mais aussi de chansons populaires, de souvenirs, de notes extraites de carnets intimes, de sensations pures, d’obsessions et de fantasmes entremêlés. Libéré du sceau de la réalité, le passé ouvre une dimension onirique douce-amère.
Marionnettiste, ventriloque, performer protéiforme, Jonathan Capdevielle met en scène Dimitri Doré dans ce solo fictionnel chargé d’une beauté envoûtante.
Nous plongeons dans cette vraie-fausse traversée de l’enfance à l’adolescence de l’acteur, en quête de sa part manquante, aujourd’hui matière brute inspirante avec laquelle il fait œuvre au présent.
Jonathan Capdevielle a mis Dimitri Doré en scène la 1ère fois, alors que ce dernier n’avait que 19 ans. Depuis, ils ne se perdent plus de vue.
Avec DAINAS (pron. daïnas), leur collaboration prend la nouvelle tournure d’une co-écriture, inspirée par l’histoire intime de Dimitri. Né en Lettonie, il est adopté en France à l’âge de 18 mois.
Quelles traces sa culture d’origine et sa famille de sang ont-elles laissé en lui, alors qu’il quitte son pays natal bébé? Cet héritage nébuleux devient le berceau d’un imaginaire syncrétique composé de réminiscences, de folklore et mythes lettons, mais aussi de chansons populaires, de souvenirs, de notes extraites de carnets intimes, de sensations pures, d’obsessions et de fantasmes entremêlés. Libéré du sceau de la réalité, le passé ouvre une dimension onirique douce-amère.
Marionnettiste, ventriloque, performer protéiforme, Jonathan Capdevielle met en scène Dimitri Doré dans ce solo fictionnel chargé d’une beauté envoûtante.
Nous plongeons dans cette vraie-fausse traversée de l’enfance à l’adolescence de l’acteur, en quête de sa part manquante, aujourd’hui matière brute inspirante avec laquelle il fait œuvre au présent.
Jonathan Capedevielle, mise en scène et texte - Dimitri Doré, texte et jeu
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