Dès le Mardi
23 Septembre au 5 Octobre 2025
Méandres, un spectacle de Justine Ruchat à découvrir du 23 septembre au 5 octobre 2025 au Galpon, Genève.
Sept tableaux comme autant de sinuosités pour réinvestir le monde, le réenchanter, l’accueillir en soi.
Justine Ruchat nous prend par la main et nous guide là où se cache l’essentiel. Il se peut que le monde soit devenu cette camisole de slogans et d’images qui nous isole. Qu’ainsi aliéné·e·s, nous ne prenions plus garde à ce qui est sensible, beau, essentiel, même si parfois ténu.
Justine Ruchat s’est laissée glisser dans les méandres d’un monde rendu à la vie, délicat et onirique, en quête d’émerveillement. Ce qui s’y déroule, et met en jeu le corps comme l’esprit, ne relève pourtant pas uniquement de la quiétude: le risque y joue son rôle, l’incident y reste possible, le coeur y cogne au rythme des émotions et des souvenirs.
L’auteure a tiré des Leçons américaines d’Italo Calvino, qui l’ont accompagnée, le goût du sédiment, celui du temps retrouvé et de la juste mesure. Un train qui file, les phares d’une voiture dans la nuit, une nuée d’oiseaux, un loup au loin...
Autant de repères, sonores ou visuels, pour permettre au regard de retrouver son acuité originelle. Autant de manières, aussi, de rétablir le contact, en prenant le public non comme témoin mais comme partenaire.
Spectacle de la réconciliation, Méandres s’irrigue d’images et de mots pour saisir le vivant dans ce qui a de plus intense et, partant, de plus éphémère. S’y immerger fait figure d’acte de résistance.
Sept tableaux comme autant de sinuosités pour réinvestir le monde, le réenchanter, l’accueillir en soi.
Justine Ruchat nous prend par la main et nous guide là où se cache l’essentiel. Il se peut que le monde soit devenu cette camisole de slogans et d’images qui nous isole. Qu’ainsi aliéné·e·s, nous ne prenions plus garde à ce qui est sensible, beau, essentiel, même si parfois ténu.
Justine Ruchat s’est laissée glisser dans les méandres d’un monde rendu à la vie, délicat et onirique, en quête d’émerveillement. Ce qui s’y déroule, et met en jeu le corps comme l’esprit, ne relève pourtant pas uniquement de la quiétude: le risque y joue son rôle, l’incident y reste possible, le coeur y cogne au rythme des émotions et des souvenirs.
L’auteure a tiré des Leçons américaines d’Italo Calvino, qui l’ont accompagnée, le goût du sédiment, celui du temps retrouvé et de la juste mesure. Un train qui file, les phares d’une voiture dans la nuit, une nuée d’oiseaux, un loup au loin...
Autant de repères, sonores ou visuels, pour permettre au regard de retrouver son acuité originelle. Autant de manières, aussi, de rétablir le contact, en prenant le public non comme témoin mais comme partenaire.
Spectacle de la réconciliation, Méandres s’irrigue d’images et de mots pour saisir le vivant dans ce qui a de plus intense et, partant, de plus éphémère. S’y immerger fait figure d’acte de résistance.
Création
- Dans le cadre du Temps fort Qu’est-ce que la beauté?
Justine Ruchat, écriture, direction artistique, conception, scénographie - Théâtre EnQuête
Avec Clara Brancorsini, Francois Revaclier, Elise Perrin
Pour s’y rendre
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