Mercredi
4 Février 2026
L'OSR et Sol Gabetta interprètent Mendelssohn, Saint-Saëns et Beethoven, le 4 février 2026 au Victoria Hall, Genève.
Un vent d’optimisme souffle sur le programme de cette soirée.
Grand voyageur et homme cultivé, Mendelssohn s’était longuement arrêté en Italie, ébloui par la lumière et par les paysages comme par les œuvres d’art qu’il voyait partout. Sa Symphonie N° 4 dite Italienne décrit son émerveillement avec toute la force et la vivacité de sa jeunesse.
Bref et conçu en un seul mouvement, le Concerto pour violoncelle N° 1 de Saint-Saëns s’ébroue dans un tournoiement irrésistible partant à l’assaut de l’étendue de l’instrument dans un dialogue constant avec l’orchestre. Romantique et lyrique, il se termine dans un éclatant la majeur synonyme de foi en la vie.
Après l’évocation du héros, au sens napoléonien du terme, et avant celle de son propre destin, Beethoven s’octroie une halte plus sereine avec sa Symphonie N° 4 en si bémol majeur au climat enjoué pour ne pas dire franchement «déboutonné» (le mot est de Beethoven) qui n’exclue en rien les innovations rythmiques et formelles.
Un vent d’optimisme souffle sur le programme de cette soirée.
Grand voyageur et homme cultivé, Mendelssohn s’était longuement arrêté en Italie, ébloui par la lumière et par les paysages comme par les œuvres d’art qu’il voyait partout. Sa Symphonie N° 4 dite Italienne décrit son émerveillement avec toute la force et la vivacité de sa jeunesse.
Bref et conçu en un seul mouvement, le Concerto pour violoncelle N° 1 de Saint-Saëns s’ébroue dans un tournoiement irrésistible partant à l’assaut de l’étendue de l’instrument dans un dialogue constant avec l’orchestre. Romantique et lyrique, il se termine dans un éclatant la majeur synonyme de foi en la vie.
Après l’évocation du héros, au sens napoléonien du terme, et avant celle de son propre destin, Beethoven s’octroie une halte plus sereine avec sa Symphonie N° 4 en si bémol majeur au climat enjoué pour ne pas dire franchement «déboutonné» (le mot est de Beethoven) qui n’exclue en rien les innovations rythmiques et formelles.
Programme:
Felix Mendelssohn, Symphonie N° 4 en la majeur op. 90, dite Italienne
Camille Saint-Saëns, Concerto pour violoncelle et orchestre N° 1 en la mineur op. 33
Entracte
Ludwig van Beethoven
Symphonie N° 4 en si bémol majeur op. 6
Dans le cadre de la série d'abonnement S
Daniele Gatti, direction - Sol Gabetta, violoncelle
Orchestre de la Suisse Romande (OSR)
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