Dimanche
                                    23 Novembre 2025                                
                            Mónica Prada, Sarah Walder et José Carretero interprètent un programme Tubes de la Renaissance à découvrir le 23 novembre 2025 à l'Église Saint-Julien, Meyrin-Village.
L’iconographie de la Renaissance, les traités de musique, la littérature musicale survenue et d’autres documents et témoignages diverses nous parlent d’une pratique musicale à la maison très répandue parmi l’aristocratie et la bourgeoisie de l’époque.
Cette pratique musicale privée représentait une façon de se cultiver, d’occuper son temps et de socialiser. C’était habituel de y jouer, chanter et écouter des musiques bien connues et appréciées des compositeurs les plus célèbres du moment ou bien anonymes. On aurait pu entendre des frottole, madrigaux, villancicos, chansons, etc.
Ce sont des compositions polyphoniques souvent écrits à 3, 4 ou 5 voix et publiés dans des belles éditions ou bien recueillis dans des livres manuscrits (cancioneros), mais dont il y avait une nécessité fréquente de les adapter pour la pratique privée selon le nombre des voix et/ou d’instruments à disposition et selon les capacités techniques des musiciens (professionnels ou non).
Tout cela provoquait la floraison de versions instrumentales variées d’après des compositions vocales et de multiples arrangements et combinaisons possibles des compositions, sans oublier le développement de l’art de la diminution (ornementation mélodique).
                                                                                L’iconographie de la Renaissance, les traités de musique, la littérature musicale survenue et d’autres documents et témoignages diverses nous parlent d’une pratique musicale à la maison très répandue parmi l’aristocratie et la bourgeoisie de l’époque.
Cette pratique musicale privée représentait une façon de se cultiver, d’occuper son temps et de socialiser. C’était habituel de y jouer, chanter et écouter des musiques bien connues et appréciées des compositeurs les plus célèbres du moment ou bien anonymes. On aurait pu entendre des frottole, madrigaux, villancicos, chansons, etc.
Ce sont des compositions polyphoniques souvent écrits à 3, 4 ou 5 voix et publiés dans des belles éditions ou bien recueillis dans des livres manuscrits (cancioneros), mais dont il y avait une nécessité fréquente de les adapter pour la pratique privée selon le nombre des voix et/ou d’instruments à disposition et selon les capacités techniques des musiciens (professionnels ou non).
Tout cela provoquait la floraison de versions instrumentales variées d’après des compositions vocales et de multiples arrangements et combinaisons possibles des compositions, sans oublier le développement de l’art de la diminution (ornementation mélodique).
Programme:
Œuvres de Andrea Antico, Thoinot Arbeau, Jacques Arcadelt, Antonio de Cabezón, Juan del Encina, Silvestro Ganassi, Nicolas Gombert, Francisco Guerrero, Diego Ortiz, Cipriano de Rore, Bartolomeo Tromboncino et d’autres en provenance du Cancionero de Palacio et du Cancionero del Duque de Calabria
Mónica Prada, soprano - Sarah Walder, viole de gambe - José Carretero, orgue 
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