Dès le Mardi
19 au 23 Mai 2026
Svatbata, un ballet de Marcos Morau à découvrir du 19 au 23 mai 2026 au Bâtiment des Forces Mortrices (BFM), Genève.
Après avoir collaboré avec de nombreuses compagnies internationales et participé à des manifestations prestigieuses telles que le Festival d’Avignon ou encore la Biennale de Venise, Marcos Morau nous offre, avec Svatbata, la rencontre de son langage chorégraphique unique avec les interprètes d’exception du Ballet du Grand Théâtre de Genève.
Après Sonoma, Hermana, Folkå et Totentanz, le chorégraphe Marcos Morau poursuit sa réflexion sur les différents aspects visuels et chorégraphiques du rituel avec Svatbata (na svatbata signifie « le mariage » en langue bulgare).
En écho à un présent où les individus tendent à mettre en exergue leurs identités et leurs singularités, Marcos Morau souhaite convoquer, à travers cette nouvelle création, l’époque lointaine où l’on partageait plus volontiers les similitudes que les différences.
Avec Svatbata, il propose de se rassembler sous un ciel étoilé, n’importe quelle nuit de n’importe quelle année de l’histoire, pour partir ensemble à la recherche du sens secret de l’existence, célébrer la vie et défier les questions qui ont animés l’humanité depuis le commencement.
Grâce à l’exploration des sons et des gestes humains, à travers la pulsation des tambours de peau et la vibration du sol sous les pieds des interprètes, il souhaite interroger cette forme mystérieuse, ces ornements que les corps connaissent et exécutent avec un étrange automatisme hérité des générations précédentes.
Qu’il n’éclate que pour déployer dans toutes les directions l’infinité de ses strates et de ses nuances, pour devenir un espace habitable, un jardin humain de signes. Et de se rappeler que d’une seule et même profondeur surviennent le mouvement de la vie et l’immobilité de la mort. Les mariages sont en quelque sorte des enterrements – les enterrements sont en quelque sorte des mariages. Dans les deux cas, le rituel ne s’accompagne-t-il pas de fleurs ? Car tout appartient sans exception, l’amour, la mort et les fleurs, à la Terre. La danse aussi.
Après avoir collaboré avec de nombreuses compagnies internationales et participé à des manifestations prestigieuses telles que le Festival d’Avignon ou encore la Biennale de Venise, Marcos Morau nous offre, avec Svatbata, la rencontre de son langage chorégraphique unique avec les interprètes d’exception du Ballet du Grand Théâtre de Genève.
Après Sonoma, Hermana, Folkå et Totentanz, le chorégraphe Marcos Morau poursuit sa réflexion sur les différents aspects visuels et chorégraphiques du rituel avec Svatbata (na svatbata signifie « le mariage » en langue bulgare).
En écho à un présent où les individus tendent à mettre en exergue leurs identités et leurs singularités, Marcos Morau souhaite convoquer, à travers cette nouvelle création, l’époque lointaine où l’on partageait plus volontiers les similitudes que les différences.
Avec Svatbata, il propose de se rassembler sous un ciel étoilé, n’importe quelle nuit de n’importe quelle année de l’histoire, pour partir ensemble à la recherche du sens secret de l’existence, célébrer la vie et défier les questions qui ont animés l’humanité depuis le commencement.
Grâce à l’exploration des sons et des gestes humains, à travers la pulsation des tambours de peau et la vibration du sol sous les pieds des interprètes, il souhaite interroger cette forme mystérieuse, ces ornements que les corps connaissent et exécutent avec un étrange automatisme hérité des générations précédentes.
Qu’il n’éclate que pour déployer dans toutes les directions l’infinité de ses strates et de ses nuances, pour devenir un espace habitable, un jardin humain de signes. Et de se rappeler que d’une seule et même profondeur surviennent le mouvement de la vie et l’immobilité de la mort. Les mariages sont en quelque sorte des enterrements – les enterrements sont en quelque sorte des mariages. Dans les deux cas, le rituel ne s’accompagne-t-il pas de fleurs ? Car tout appartient sans exception, l’amour, la mort et les fleurs, à la Terre. La danse aussi.
Création mondiale - dans le cadre de la saison du Ballet du Grand Théâtre de Genève
Marcos Morau, chorégraphie
Ballet du Grand Théâtre de Genève
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