Dès le Mercredi
11 au 12 Septembre 2024
Parallax, un spectacle de Kornél Mundruczó et du Proton Theatre à découvrir les 11 et 12 septembre 2024 à la Comédie de Genève.
De la Hongrie à l’Allemagne, une famille éclatée, divisée, s’oppose et s’affronte sur des questions identitaires.
Une grand-mère, sa fille et son petit-fils, à plusieurs années d’intervalle, cherchent à tracer leur voie en ce monde, entre affirmation et discrétion, dévoilement et secret, mémoire et oubli. Au conflit générationnel et aux incompréhensions culturelles s’ajoutent les difficultés des uns et des autres à dépasser le sentiment d’altérité qui leur colle au corps.
Kornél Mundruczó est un orfèvre de l’âme humaine. Pour cette nouvelle création, le metteur en scène et cinéaste hongrois aborde les questions identitaires selon deux axes et deux temporalités : la judéité, d’une part, et l’homosexualité, de l’autre, face aux remous du temps.
L’identité est-elle affaire de point de vue ? C’est la question que pose le titre, puisque la parallaxe est, en astronomie, l’effet du changement de position de l’observateur sur ce qu’il perçoit.
Ce spectacle tout en nuances, porté et joué par Proton Theatre, la compagnie indépendante historique de Kornél Mundruczó, parle aussi de la vie qui s’en va et des blessures qui restent.
en hongrois surtitré en français
Dans la Grande Salle
De la Hongrie à l’Allemagne, une famille éclatée, divisée, s’oppose et s’affronte sur des questions identitaires.
Une grand-mère, sa fille et son petit-fils, à plusieurs années d’intervalle, cherchent à tracer leur voie en ce monde, entre affirmation et discrétion, dévoilement et secret, mémoire et oubli. Au conflit générationnel et aux incompréhensions culturelles s’ajoutent les difficultés des uns et des autres à dépasser le sentiment d’altérité qui leur colle au corps.
Kornél Mundruczó est un orfèvre de l’âme humaine. Pour cette nouvelle création, le metteur en scène et cinéaste hongrois aborde les questions identitaires selon deux axes et deux temporalités : la judéité, d’une part, et l’homosexualité, de l’autre, face aux remous du temps.
L’identité est-elle affaire de point de vue ? C’est la question que pose le titre, puisque la parallaxe est, en astronomie, l’effet du changement de position de l’observateur sur ce qu’il perçoit.
Ce spectacle tout en nuances, porté et joué par Proton Theatre, la compagnie indépendante historique de Kornél Mundruczó, parle aussi de la vie qui s’en va et des blessures qui restent.
en hongrois surtitré en français
Dans la Grande Salle
Avertissement: Le spectacle comporte des représentations d’actes sexuels
Dans le cadre de La Bâtie
Kata Wéber à partir des improvisations des interprètes, texte - Kornél Mundruczó, mise en scène
Avec Lili Monori, Emőke Kiss-Végh, Erik Major, Roland Rába, Sándor Zsótér, Csaba Molnár, Soma Boronkay
Pour s’y rendre
Agenda
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