Jeudi
12 Juin 2025
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Juin
2025
Photons © Elisa Ramirez
Photons, un concert à découvrir le 12 juin 2025, Chez Jean-Luc, Genève.
Une nuit, des basses vous prennent aux tripes, vous claquent les os et ébranlent vos méninges qui finissent par lâcher prise - c’est la transe susceptibles de produire les musiques électroniques.
Pour le pianiste Gauthier Toux, cette révélation remonte à une soirée de 2016 dans un club techno lausannois. C’est la genèse de son nouveau projet, Photons, et de son album La nuit sans l’ennui, qui raconte l’appétence du quatuor pour le noctambulisme.
À la tête de son trio ou dans le quintet de Léon Phal, le jazzman n’a jamais cessé d’expérimenter les claviers, du Fender Rhodes au Prophet 08. Gauthier Toux pratique cette fois un synthétiseur Oberheim OB-6 en compagnie du guitariste Giani Caserotto, du contrebassiste Julien F’hima et du batteur Julien Loutelier.
Soit une formation organique qui adopte les marqueurs de la house et de la techno. Montées et descentes, basses et textures, la performance est bluffante, venant d’un quartet qui ajoute à sa panoplie l’improvisation guidant les solos et les embardées collectives.
De jour comme de nuit, sur le canapé ou le dancefloor, Photons réconcilie la tête et les jambes.
Une nuit, des basses vous prennent aux tripes, vous claquent les os et ébranlent vos méninges qui finissent par lâcher prise - c’est la transe susceptibles de produire les musiques électroniques.
Pour le pianiste Gauthier Toux, cette révélation remonte à une soirée de 2016 dans un club techno lausannois. C’est la genèse de son nouveau projet, Photons, et de son album La nuit sans l’ennui, qui raconte l’appétence du quatuor pour le noctambulisme.
À la tête de son trio ou dans le quintet de Léon Phal, le jazzman n’a jamais cessé d’expérimenter les claviers, du Fender Rhodes au Prophet 08. Gauthier Toux pratique cette fois un synthétiseur Oberheim OB-6 en compagnie du guitariste Giani Caserotto, du contrebassiste Julien F’hima et du batteur Julien Loutelier.
Soit une formation organique qui adopte les marqueurs de la house et de la techno. Montées et descentes, basses et textures, la performance est bluffante, venant d’un quartet qui ajoute à sa panoplie l’improvisation guidant les solos et les embardées collectives.
De jour comme de nuit, sur le canapé ou le dancefloor, Photons réconcilie la tête et les jambes.
En relation avec le concert: Un billet à tarif préférentiel (voir ci-contre) propose de découvrir tous les événements de la soirée. Love Letters (classique, contemporaine) à 20h00, Swiss Jazz Orchestra & Christoph Irniger (jazz) à 21h30, Photons (danse et trans) à 23h00, et dès minuit, Chez Jean-Luc, DJ Garance et Lalla Mira (Deep Tech, house)
En relation: dès minuit, fin de soirée Chez Jean-Luc, rue de la Cité 9, avec DJ Garance et Lalla Mira
Gauthier Toux, piano, claviers - Giani Caserotto, guitare - Samuel F’hima, contrebasse - Julien Loutelier, batterie
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